Le Conseil des Jeunes ALCOTRA se présente
Entrez dans le monde des 14 membres et découvrez leurs motivations
Le 8 juillet 2022, le Programme ALCOTRA installera le Conseil des Jeunes en tant qu'organe consultatif du Comité de suivi.
Stagiaire à l’Autorité de gestion, j’ai participé en lien direct avec Véronique VEYRAT (Responsable du service ALCOTRA) à la mise en place de cet organe depuis le début, et je suis très heureuse du travail accompli jusqu'à présent. J'ai confiance que chacun des membres, avec ses connaissances et ses passions respectives, enrichira le contenu du Programme.
Je suis fière de travailler pour un Programme européen qui reconnaît la valeur de la jeunesse, et qui est conscient que donner une voix aux jeunes n'est pas seulement le résultat d'un processus bottom-up – mais aussi, et surtout, une décision courageuse venant du haut.
C'est donc avec une immense joie que j'écris cette courte introduction aux présentations des douze jeunes membres du Conseil des Jeunes ALCOTRA 2022-2023 : en tant que leur référente, je souhaite à chacun d'eux bonne chance pour la merveilleuse année à venir.
Veronica Capenti, stagiaire « Conseil des Jeunes ALCOTRA » à l’Autorité de gestion
Alec Lequeux
Je m'appelle Alec, j'ai 20 ans, et je suis né dans un petit village perdu au fin fond de la Savoie. De sang Franco-Italien, j'ai toujours eu ce sentiment de double nationalité, de double appartenance à ces cultures si diversifiées.
J'ai toujours été passionné par la musique, la mode, le cinéma, la peinture, la littérature, l'architecture, la bijouterie...l'Art en général. Ayant toujours été assoiffé de livres, j'ai été très tôt un expert de la langue française, et c'est tout naturellement que je me suis intéressé aux autres langages qui m'entourent : avec le français et l'italien, l'anglais devient vite comme ma langue maternelle.
En parallèle, ayant obtenu mon Baccalauréat général en 2016, je pousse mes études de musique (d'abord à Chambéry, à Lyon, puis enfin à Paris) jusqu'à un niveau professionnel. Mes concerts, mes stages en France et en Italie, mes lectures, m'ouvrent l'esprit au monde extérieur ; je rencontre de plus en plus d'artistes venant du monde entier, Europe, Afrique, Asie, Russie, États-Unis... C'est bien sûr extrêmement enrichissant, et mon immense curiosité en demande toujours plus ! Malheureusement, la crise sanitaire a mis un stop à cet élan d'aventure.
Mais malgré mes déceptions, mes frustrations, ou bien les incessantes preuves d'indifférence et d'hypocrisie dont je suis témoin au quotidien, malgré tout, au plus profond de moi, je continue de croire en l'Humain.e, et je demeure persuadé que les solutions qui vont guérir notre monde d’aujourd'hui, viendront de celleux qui savent qu'iels doivent y survivre demain.
Alors je veux participer à la construction, au façonnage de demain. Je veux faire partie du futur, je veux faire partie de la solution, je veux être de celleux qui se lèvent et agissent, car, pour reprendre les mots d'un de mes plus illustres modèles, « I have a dream ». J'ai un rêve.
Je rêve d'un monde où le mot « rêve » a un sens. Un monde où chacun.e peut être ce qu'iel veut, aimer qui iel veut, faire de sa vie ce qu'iel veut ! Et ce beau rêve, il n'appartient qu'à moi de lui donner vie, de le transformer en réalité. Voilà pourquoi je suis ici devant vous.
Je suis là pour réaliser mon rêve.
Alexandre Chari
Les territoires alpins sont marqués par des défis et enjeux propres à son territoire.
Il est important pour moi que la communauté prenne conscience le plus intensément de la fragilité des territoires alpins. Toutefois, ceux-ci ne sont pas seulement fragiles, ils sont également porteurs de nombreux atouts.
Je suis convaincu que c'est à la jeunesse de s'emparer des sujets du développement durable ainsi que de la lutte contre le changement climatique soient appréhendés de la manière la plus large possible, pour créer un vivier d'acteurs privilégiés en ce qui concerne la gestion de cet espace.
J'ai donc choisi de proposer ma candidature au Conseil des Jeunes ALCOTRA afin de contribuer à porter les voix qui s'élèvent en faveur de la protection de cet espace transfrontalier.
Bastien Vescovi
Je m’appelle Bastien Vescovi, j’ai 19 ans et je vis à Menton, dans la région PACA. Menton est une ville frontalière avec l’Italie qui est imprégnée par cette culture méditerranéenne et italienne notamment. Cela explique donc mon attachement tout particulier à ce pays, à cette langue et à cette culture. J’ai donc, et ce depuis longtemps déjà, considéré l’Italie comme une sorte de pays d’adoption. Ainsi, j’ai toujours cherché dans mon parcours scolaire à étudier cette culture qui éveillait en moi une grande curiosité et un attrait évident. J’ai intégré au collège la classe européenne, puis la classe ESABAC au lycée qui m’a permis de valider « l’esame di Maturità », soit l’équivalent italien du baccalauréat, et d’acquérir d’innombrables connaissances tant linguistiques que culturelles et civilisationnelles. De plus, j’ai poursuivi cet apprentissage acharné en classe préparatoire littéraire au lycée Masséna où j’avais comme langue vivante l’italien, matière dans laquelle j’ai notamment passé l’épreuve de l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm à Paris. C’est pour toutes ces raisons que ma participation à un tel Programme visant à la bonne coopération transfrontalière acquiert une importance particulière et prend tout son sens du fait de mon attachement à l’Italie et aux questions transfrontalières.
Doriane de Maupeou
Savoyarde de naissance, la montagne et les Alpes sont des éléments qui ont façonné mon identité. Depuis toujours je suis émerveillée devant la beauté du Mont-Blanc ou des petits villages de montagne, qui ont formé les paysages uniques de cette chaîne de montagne européenne. J’ai étudié la science politique à Lyon et au cours de mes études mon intérêt pour les relations internationales s’est accru. Mon année d’étude à Turin m’a fait comprendre que, certes je suis française, mais aussi européenne et de là est parti mon envie de participer au projet européen ainsi que mon attachement à l’Italie et à sa culture. La culture étant mon second secteur d’intérêt, j’ai décidé de me spécialiser en management culturel pour le développement local afin de compléter mes compétences et de pouvoir allier mes deux centres d’intérêt. Actuellement je travaille comme Interreg Project Partner pour la ville métropolitaine de Turin (Interreg Volunteer Youth) afin d’épauler mes collègues dans la gestion de plusieurs projets ALCOTRA et j’ai le plaisir d’avoir été sélectionnée pour participer au Conseil des Jeunes ALCOTRA. Je souhaite utiliser mes connaissances et mes compétences pour participer au développement durable de l’écosystème Alpin si particulier et fragile qui constitue mon quotidien depuis 29 ans.
Laure Bazin
Je m’appelle Laure, j’ai 23 ans et je suis née à Chambéry en Savoie. Je suis étudiante en licence de biologie à l’université de Lyon et je réalise ces études dans le but d’œuvrer pour la protection de l’environnement et plus particulièrement des espèces animales.
De nature enjouée et volontaire, je mets au service des autres mes capacités d’inventivité et de réflexion. A travers le Conseil des Jeunes ALCOTRA, je souhaite pouvoir intervenir au plus près des acteurs des politiques publiques, pour que notre monde puisse évoluer vers une prise de conscience collective pour un territoire plus respectueux de la nature et des citoyens. C’est à travers ce groupe que nous porterons la parole des jeunes de toute une génération. L’investissement ne me fais pas peur : travaillant comme bénévole dans plusieurs associations, je suis dévouée aux causes que je défends en accord avec de profondes convictions. Ayant une prédisposition à la communication sur les réseaux sociaux, je saurais me rendre utile pour faire entendre nos idées et les partager au plus grand nombre, car c’est ensemble que nous ferons bouger les choses.
Lorenzo Freire—Stella
Buongiorno! Je m’appelle Lorenzo et j’ai 20 ans. J’ai grandi en baignant dans la double-culture franco-italienne, mais surtout européenne puisque je suis né à Paris d’une mère italo-espagnole et d’un père franco-portugais. J’ai donc des membres de la famille éparpillés en Europe que j’aime visiter dès que je peux. C’est aussi cet éveil à la multiculturalité dès le plus jeune âge qui m’a fait aimer l’apprentissage des langues étrangères.
Sans préférence arrêtée pour la mer ou la montagne, je trouve profondément que notre Terre est belle. C’est pourquoi, dans mes études (Géographie et Management des Transports), j’ai décidé de mettre à profit mes centres d’intérêts pour sa préservation. Mes sujets de prédilection et « angles d’attaque » préférés sont les transports et l’aménagement du territoire, car les deux peuvent avoir un impact important sur l’environnement, encore plus s’ils sont combinés. En particulier, les territoires ruraux de montagne, par les enjeux uniques qu’ils représentent, sont fascinants et je suis convaincu que beaucoup est encore à imaginer, à inventer et réinventer ! C’est pour essayer d’y parvenir que j’ai décidé de représenter la jeunesse Alpine au sein du Conseil des Jeunes ALCOTRA.
Marlène Jorrioz
Je suis ma mère quand elle s’émeut en racontant des histoires d’autrui, quand elle perd son calme, quand elle renonce à quelques choses pour ses enfants.
Je suis mon père quand il n’accepte pas que le monde puisse changer et progresser hors de sa pensée.
J’ai étudié les langues mais je ne serai jamais traductrice ou interprète, c’est pour mieux comprendre les diverses cultures du monde.
Je fais du théâtre pour faire de l’introspection et offrir une particulière vision de la réalité au public mais je ne serai jamais actrice car je suis trop attachée à l’aspect concret de la vie.
Je suis une femme de foi et pourtant je me méfie de toute sorte de fondamentalisme.
Je suis fière d’être une femme libre qui a le courage de manifester sa pensée.
Je suis ici parce qu’après avoir tant vu et voyagé, je suis poussée par un sens de responsabilité, d’engagement pour la Terre, qu’avec amour, m’a grandie. Notre montagne, son environnement et ses traditions sont exceptionnellement beaux mais ils risquent de disparaitre. Elles ont besoin d’oxygène, d’un brin de nouveauté, d’un projet à la fois progressiste et conservateur : un projet qui les mette en valeur et les respecte en même temps.
Je me dis prête à m’engager dans le Conseil des Jeunes ALCOTRA pour coopérer la création d’une société progressiste, promotrice du développement durable et attentive aux valeurs de solidarité et justice sociale.
Marzia Danna
"Les jeunes sont souvent rejetés comme des idéalistes naïfs, mais ils ont l’émerveillement, la conscience, l’instruction de faire ce que nous n’avons pas été capables de faire. Mettons-nous au travail, nous devons changer les choses, nous devons le faire maintenant." dit Harrison Ford.
La merveille pour savoir m’émerveiller chaque jour des opportunités que la vie m’offre. La possibilité de vivre dans un pays démocratique, de pouvoir m’exprimer et de pouvoir m’engager activement en faveur de ma collectivité.
La conscience de considérer les politiques et les dynamiques publiques de manière consciencieuse et responsable. Valoriser l’Europe, nourrir l’appartenance et l’intérêt pour quelque chose de grand. S’engager à fond pour un monde plus collaboratif, avec la conscience que ce n’est qu’en dialoguant de manière proactive entre pays et peuples différents que l’on pourra arriver à un véritable développement communautaire.
L’éducation, comme une rançon sociale. Un avenir où tous les jeunes pourront réellement avoir accès à une éducation qui transmette des valeurs et des compétences. Grâce à un dialogue accru entre l’école, le monde du travail et la société civile, y compris au-delà des frontières nationales, afin de promouvoir la confrontation, l’inclusion, l’égalité des sexes et la multiculturalité.
Je suis née dans une petite ville en Province de Cuneo, au pied des Alpes-Maritimes et c’est l’avenir que je voudrais : une Europe unie et communautaire, qui sache s’émerveiller, être consciente et qui soutienne l’éducation libre, comme dialogue entre peuples et cultures différentes.
Maxime Bernard
Je suis passionné par la montagne et profiter de ces grands espaces et de sa nature me rend heureux. Pour cette raison, je pense qu’il est essentiel de pouvoir préserver cette dernière. Je suis aussi sensible également aux questions économiques qui sont d’une importance capitale pour l’ensemble de la population. Ces deux aspects m’amènent à m’intéresser aux politiques publiques dans leur ensemble.
Par ailleurs, je pense qu’il est aujourd’hui nécessaire de pouvoir œuvrer à un avenir au sein duquel il sera plus simple de se déplacer tout en limitant notre usage de l’automobile individuelle, solution de mobilité possédant de trop nombreuses externalités négatives.
Dès lors, je souhaite m’engager au sein du Conseil des Jeunes ALCOTRA afin de pouvoir participer à l’amélioration des conditions de vie dans les territoires du Programme ALCOTRA, par exemple en œuvrant à une amélioration de la mobilité transfrontalière entre la France et l’Italie.
Nicolas Formentin
Le monde de demain se dessine et se décide aujourd’hui. Les approches pour construire notre avenir commun sont différentes selon les générations qui les imaginent.
En tant que membre du Conseil des Jeunes ALCOTRA 2022-2023, mes objectifs sont de faire porter la voix et les idées d’une nouvelle génération qui se sent parfois déconnectée et oubliée par les projets portés par les politiques ; qu’elles soient régionales, nationales ou internationales.
Titulaire de deux Masters, l’un en Archéologie (Université Paris I Panthéon-Sorbonne), l’autre en Géographie (Université Savoie – Mont-Blanc) et fort d’une expérience de plusieurs années dans les domaines publics, universitaires et privés au sein de mon corps de métiers principal, l’Archéologie, j’espère pouvoir montrer que les jeunes sont au fait non-seulement du monde actuel, mais également de la sphère sociétale qui les entoure. Notre génération est parfois plus discrète que la précédente sur le front social (en témoigne notamment le déclin progressif du syndicalisme en Europe) mais nous nous devons d’agir pour un futur à notre image par la discussion et par l’action.
Le Conseil des Jeunes doit être une opportunité, non-seulement pour nous mais également pour tous les acteurs du Programme Interreg ALCOTRA pour que ceux-ci puissent penser et imaginer des projets en accords avec les attentes actuelles mais également celles de nos futurs successeurs.
J’ai décidé de dédier mon travail de thèse aux collectivités territoriales situées sur mon terrain d’attache, la Vallée de la Tarentaise en Savoie. Que ce soit ma vision professionnelle ou personnelle des choses, n’importe quel projet doit avoir vocation à servir localement sur le temps long. C’est de la même manière que je conçois ma participation au Conseil des Jeunes ALCOTRA ; réfléchir et travailler au service de projets ayant des finalités à moyens et longs termes pour des espaces définis.
Valentin Simoncelli
Je m’appelle Valentin, j’ai 20 ans et je suis franco-italien. Né d’un papa italien et d’une mère française, j'ai depuis toujours été baigné dans une culture aux saveurs sans frontières, à la fois françaises et italiennes. De nature très observateur et curieux, je prends goût à observer l’évolution des relations entre l’Italie et la France qui sont toujours d’une grande qualité. A ce titre, j’ai souhaité suivre un cursus binational entre la France et l’Italie à travers Sciences Po Bordeaux et l’Università degli studi di Torino, dont je fais toujours partie.
Cette formation me permet de réaliser sans cesse ce que l’Italie et la France ont rendu possible pour moi, et l’importance de l’Europe au sein de thématiques quotidiennes.
La coopération transfrontalière proposée par le Programme ALCOTRA est pour moi une réelle opportunité. Je suis très heureux de participer à ce laboratoire démocratique, à cette idée de maison commune, où jeunes italiens et français peuvent échanger, débattre et projeter leurs idées de manière inconditionnelle.
Passionné depuis toujours par la décision publique et la maîtrise de ses procédures, j’ai hâte de pouvoir œuvrer pour des projets sociétaux et environnementaux. Au fond, le plus bel accomplissement serait d’apporter les pièces manquantes d’un puzzle qu’il m’appartient, avec d’autres, de construire.
Vivien Bovard
J'aimerais passer mon brevet de pilote : c'est un choix singulier pour quelqu'un qui, du décollage à l'atterrissage, regarde par la fenêtre pour s'assurer que tout se passe bien. Au bas de ce désir se trouve l'image d'un futur moi survolant le Mont Blanc dans un avion électrique. Il existe en effet un moment précis où les nerfs tendus de la haute altitude cèdent la place à l'amour : le moment où, lors de mes nombreux voyages entre Bruxelles et Milan, je survole le Mont Blanc et les Alpes. Le scintillement des glaciers et le vertige des sommets suggèrent des réponses douces à toutes les craintes : parce que là il y a la maison, parce qu'il y a la terre que mes grands-parents ont cultivée avant moi, parce que je ne trouve pas de meilleure réponse aux incertitudes que de boire à la source de mes racines.
Je ne suis pas facilement satisfait. C'est pourquoi, outre l'amour des villages, des clochers et des fontaines, il y a en moi une forte envie de concevoir des stratégies innovantes pour faire des Alpes un territoire hautement compétitif et attractif. Aux ruines des villages de montagne, dont la beauté réside dans le sens de la vie qu'elles dégagent encore, j'interpose la régénération durable de ces lieux, afin que surgissent de l'ardoise et du bois des infrastructures numériques, une architecture enchanteresse et des systèmes de gouvernance capables de redonner vigueur et haut capital culturel aux vallées les plus périphériques.
Elise Ricourt
Ubayenne, j’ai grandi à Barcelonnette, vallée des Alpes du Sud à quelques kilomètres à peine de la frontière italienne. Barcelonnette est une ville cosmopolite influencée par la culture italienne, mexicaine et française, riche de paysages sauvages, préservés et généreux. Nous sommes à un véritable carrefour entre le Piémont, la Savoie et la Provence.
C’est sur cette terre de montagnes que j’ai découvert la richesse de la culture italienne. Mon attachement à l’Italie s’est renforcé grace à la filière ESABAC, suivie au lycée André Honnorat, et au programme Transalp.
Aujourd’hui, intégrer le Conseil des Jeunes me permet de participer à la préservation de ce territoire menacé par le changement climatique et de contribuer à construire notre avenir commun. Un avenir qui répond aux défis de demain. Ensemble, nous pouvons améliorer la vie dans nos montagnes, ces montagnes que nous aimons tant.
Jade Rapallini
Enfant d’une mère française et d’un père franco-italien, je me suis toujours intéressée à mes origines liguriennes. Même si je passe la plupart de mes vacances dans mon village au-dessus de La Spezia, j’ai toujours voulu en apprendre plus sur l’Italie en commençant par la langue, la culture, et l’histoire italienne.
Passionnée par le monde qui m’entoure, les différentes cultures, et trop curieuse pour tenir en place pendant mes vacances d’été. J’ai, dès que j’ai pu, voyagé en famille puis seule, à la recherche de nouvelles rencontres internationales pour en apprendre toujours plus sur les individus et cultures qui nous entourent. Mes différents bénévolats, mes échanges scolaires et mon Erasmus m’ont apporté la vision cosmopolite que je recherchais.
Les voyages et rencontres ne sont pas mes seules passions : j’aime également la musique, le sport individuel mais également en équipe et par-dessus tout, les animaux.
« L’équitation est le seul sport individuel qui se pratique à deux. »
Pour moi l’équitation est le plus beau sport du monde. C’est le seul qui nécessite de devoir communiquer avec quelqu’un qui ne comprend absolument pas ce qu’on lui dit, que ce soit à travers notre langage verbal ou physique. C’est le seul sport où l’on vient mettre sa vie dans les mains d’un individu dont l’on ne peut pas prévoir à l’avance les réactions, qui fait la plupart du temps 5 à 8 fois notre poids mais qui, grâce à lui, nous permet de réaliser l’impossible.
Je pense que c’est grâce à mes différentes expériences, avec les chevaux et lors de mes différents voyages autour de l’Europe, que j’ai pu acquérir ma propre conception du monde. Un monde qui doit apprendre à vivre ensemble malgré des langues, des histoires et des cultures différentes, pour que demain soit meilleur qu’aujourd’hui.
L’impossible devient possible quand on arrive à se comprendre.
Je pense que le Programme ALCOTRA est un pas vers une Europe toujours plus soudée qui regarde vers l’avenir pour offrir avec fierté, aux générations futures, le monde de demain.
La parole aux jeunes
Règlement du conseil des jeunes
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